Nous étions en 2021
Drôme provençale 15 octobre.
Après les noix des Chambarands c’est autour des vignes, des oliviers et des champs de lavande d’agrémenter notre parcours. Les champs de lavande ne sont plus en fleur, quelques panneaux les décorent rappelant que la culture de la lavande est en danger, l’UE voulant classer l’huile essentielle de lavande comme produit chimique !Le compteur de ma voiture annonce 4 degrés ce matin lorsque je pars, certains auront sans doute « rempaillé les cardons » ! L’absence de vent a permis un réchauffement progressif au cours de la journée.
Notre G.O., Annic, fut toute étonnée de voir autant de participants (29).
« Ils sont venus
Ils sont tous là
Dès qu’ils ont entendu ce cri :
Elle va finir la saison
Ils sont venus
Ils sont tous là
Même ceux du nord d’ la Drôme
Y’a tant de joies, de souvenirs
Autour de toi Demi-Siècle
Y’a tant de sourires et de rires
A travers toi Demi-Siècle
Et tous les cyclos ont eu si chaud
Sur les chemins du grand soleil !
Elle va finir la saison.
Qu’ils boivent frais en fin de rando
Une bonne mousse au bistrot
Tandis que s’ entassent pêle-mêle
Contre les murs tous leurs vélos ».
Nicole Astol (inspiré de La Mamma de Robert Gall).
Une semaine en Espagne
Une semaine ensoleillée, sans vent avec une mer parfois agitée mais encore agréable pour la baignade.
Chaque cycliste a pu trouver un groupe a son niveau parmi les 120 cyclistes présents.
Malgré quelques contraintes sanitaires (masque obligatoire à l'hôtel, table de 8 personnes maximum) l'ambiance est restée au beau fixe. Une fois les vélos enfourchés la crise sanitaires était oubliée. La qualité de l'hébergement et de la restauration ont grandement participé à cette ambiance.
Chambarands 31 août.
LES CHANTS MARRANTSAttention COCKTAIL FICTION : tout est vrai ou ...presque.
Au départ de Dionay (Isère), accueillis par de paisibles lamas, nous voici vingt cinq mardi 31 août par une belle matinée ensoleillée mais un peu frisquette, à serpenter les belles routes des Chambarans sur un superbe circuit concocté par Michel.« Un parcours à la noix » au sens propre bien sûr car parfait avec les « diables rouges ».Notre organisateur éclairé propose un autre titre : « Chambarans tranquillement vallonnés » ou « la route des noyers ». Drôme des collines ou Isère des collines, ça monte autant !! et le ''ravito'' est excellent.Deux gobelets de café, une part de pogne avalée, la brume se dissipe et les cyclos peuvent s'élancer.Les Galauriens nous envoient calmement pédaler au milieu des champs de maïs en fleur, des sorghos emplumés, des tournesols fatigués et des beaux vergers de noyers. Comment font-ils ces maillots rouges ?... toujours les premiers aux carrefours ou aux changements de direction pour que nous ne nous transformions pas en..."galériens" ! ...Avec eux, plus besoin de GPS. Sans compter que nos valeurs sportives nous permettront de grimper aisément le col de la Madeleine (493m). Il est vrai que nous bifurquons à 500 mètres du sommet. Mais … chut !!Tout est calme. On n’entend même pas grincer de chaîne de vélo qui manquerait d’huile, les champs de noyers ont-ils suffit pour graisser les maillons.Depuis Chatte et son jardin ferroviaire ce Chambaran là, voit défiler sous le guidon moult champs de Franquette, Mayette et Parisienne, des pairies et le Vercors en face, un vrai régal !!!Robe roussâtre tachetée de blanc, les daims se détournent au passage des valeureux cyclistes... Quel dédain ! Attitude peu surprenante de la part des cervidés rancuniers.
Beaucoup d’entre nous n’ont-ils pas dans leur insouciante jeunesse commis l’irréparable. N’étions nous pas chaussés avec leur cuir ou vêtus de vestes en peau de daim « retournée » ?
Petite halte à Montmiral, sous la protection du patron des voyageurs, au pied de l'église St Christophe qui semble tutoyer le ciel. St Christophe en s’inclinant un peu aurait pu signaler à Gérald le débris de parpaing jonchant la montée et qui lui vaut une crevaison de son pneu avant.Surplomb sur les toits colorés de tuiles vernissées de l’Abbatiale St Antoine. Elle nous séduit par sa beauté architecturale. Faudra revenir quand l’échafaudage masquant la façade gothique aura été démonté. La visite du village de St-Antoine l'Abbaye c’est la cerise sur le gâteau avant de nous retrouver tous ensemble
(ardé-choix et dro-moix) au resto à Dionay.Un grand merci aux personnes qui ont organisé la randonnée des Chambarans 2021. Le parcours fut excellent. Nous avons passé une bonne journée.Pour certains-nes, mille regrets de n'avoir pu partager cette randonnée, mais joie d’avoir pris un réel plaisir dans l’agréable ambiance autour d'un bon repas sous les canisses chez An’toine !!!Que nenni, manque peut être pour satisfaire nos papilles de cyclos, un bon en-cas avec : Bleu du Vercors, St Marcellin, tommes de la « Chevrette de Blandine », charcutaille et gâteau aux noix humectés à la cuvée des moines de Triors.....alors repris par le « feu ardent » des pèlerins cyclotouristes soyons au rendez-vous en 2022 ! Et cette fois nous monterons vraiment jusqu’au col de la Madeleine.
Le mot de la fin est à Clément qui s’est joint spontanément au récit collectif :
« Je n’y étais pas, vous me faites envie, je reviendrai rouler...car ça va mieux. Bonne idée de se marrer en roulant surtout dans les champs.Comme disait le poète, pour garder la forme : Oh! chant suspends ton...etc etc.»
Récit réalisé par le collectif des cyclos Demi-Siècle de Drôme Ardèche mis en forme par Christian Lopez.
N.B. Franquette, Mayette et Parisienne : sont des variétés de noix.
Beaucoup d’entre nous n’ont-ils pas dans leur insouciante jeunesse commis l’irréparable. N’étions nous pas chaussés avec leur cuir ou vêtus de vestes en peau de daim « retournée » ?
Petite halte à Montmiral, sous la protection du patron des voyageurs, au pied de l'église St Christophe qui semble tutoyer le ciel. St Christophe en s’inclinant un peu aurait pu signaler à Gérald le débris de parpaing jonchant la montée et qui lui vaut une crevaison de son pneu avant.
(ardé-choix et dro-moix) au resto à Dionay.
« Je n’y étais pas, vous me faites envie, je reviendrai rouler...car ça va mieux. Bonne idée de se marrer en roulant surtout dans les champs.
Une sélection de photos de Alain et Nicole
Sainte Eulalie 17 - 19 août.Notre séjour organisé à Ste Eulalie par Jeanne et Jean-Marie les 18 et 19 Aout a réuni une vingtaine de cyclos sur ces 2 jours, où nous avons été très bien accueillis. Ils nous ont proposé 2 parcours, malgré le froid du petit matin, ajouté à cela un peu de vent sur les hauteurs du Mont gerbier de jonc et des Estables. Ajouté aussi au parcours les restaurants à Sagnes et Goudoulet et Présailles (43), où nous avons bien mangé, et avons été bien accueillis. La deuxième partie de la randonnée était un peu dure pour le départ, mais tout le monde a regagné son domicile en fin de journée. Les villages, paysages, et patrimoine reste toujours aussi beaux sur les parcours réalisés. Encore merci aux organisateurs de ce séjour.
Gérald Blain
Tence (Haute Loire) 6 au 8 juillet 2021.
MURMURES et GRONDEMENTSPhoto Annick |
Photo Nicole |
A Saint-Pal de Mons, c’est l’arrêt pique nique traditionnel et sa photo souvenir.
Dans la route forestière après Montregard encore de lisses descentes trompeuses enchaînent sur une remontée casse-jarrets et jonchée de nids de poules, ou l’inverse.
Randonnée de la Roanne 29/06/2021
Aouste-sur-sye, c’est l’heure de la rentrée. Notre dizaine de véhicules vient perturber la valse des papas/mamans qui accompagnent leurs mouflets jusqu’à la porte de l’école. 26 drome-ardéchois au rendez-vous, preuve que l’attente des cyclotouristes du Demi-Siècle pour une nouvelle rando était grande. Quel plaisir de se retrouver !
Le petit noir préparé par Michèle et Raymond nous donne du courage pour attaquer d’emblée la côte du pas de Lauzens. En point de mire la forêt « mozartienne » de Saoû. Ambiance fraîche, on s’arrêterait bien pour fureter dans les sous-bois à la recherche de quelques champignons. Après le regroupement au col, la descente dans la forêt est fluide. Une bande d’irréductibles drogués à l’expresso de 10h est déjà attablée à « L’oiseau sur la branche ». Ils nous rattraperont.
Le décor change. Les champs de lavande adossés aux falaises calcaires nous font écarquiller les mirettes et enfler le nasibus. Souriez, vous êtes au premier plan.
Plus loin, une grande ligne droite. Stupeur ! il y a un feu rouge. Une horde de gilets oranges recouvre notre circuit d’un noir asphalté que ne renierait pas le Prince de l’Outrenoir, l’artiste peintre Pierre Soulages, 2 demi-siècles à lui tout seul. Quelques instants de patience et on peut repartir, non sans respirer le goudron fumant et slalomer entre les gravillons collants.
A Bourdeaux, Isabelle nous conseille une variante pour éviter la grand-route. Nous faisons mine d’attaquer le col de la Chaudière pendant 4 km. Bifurcation au lieu-dit Les Tuiles où on déchausse pour que le groupe se reforme. C’est là qu’il m’en tombe une sur la tête. Michèle, notre GO, de son plus grand sourire faussement pensif, se demande en me regardant « A qui pourrais-je confier le récit de la rando ? ». Les témoins ne se précipitent pas pour me disputer ce privilège. J’hésite sans hésiter, ce sera ma contribution au cadeau d’anniversaire : c’est cette année que l’on fête les 70 ans du Demi-Siècle. Pensez donc un demi-siècle qui a 70 ans c’est pas commun. Et des cyclos nés en 1951 qui voudraient afficher 50 ans, j’en connais.
Après un changement de direction « gauche-droite » on se dirige vers Crupies. Le revêtement n’est plus aussi lisse. Attention ! crevaison pour Gérald.
A Bouvières, on attaque le plat de résistance avec la montée du col Lescou. Les 7 VAE nous attendent gentiment au sommet. Altitude modeste de 819m mais, pour tous, un effort certain qui mérite bien quelques photos souvenirs.
Bascule dans le Diois. Il n’y a plus qu’à se laisser glisser jusqu’à Saint Nazaire le Désert. On profite de la senteur des genêts en fleurs. C’est ici que nos amis Isabelle et Jean Luc nous accueillent dans leur jardin pour le pique nique. Ils ont même pris soin d’inviter les premières cigales. Merci pour cette halte amicale et reposante.
La descente vers Saillans est superbe. La Roanne nous offre son plus beau vert turquoise à faire pâlir de jalousie le Verdon. Comme la pente d’une vingtaine de km est douce, on a le temps d’admirer les caprices géologiques. En point d’orgue, le fier clocher de l’église de Saint Benoît en Diois qui domine les gorges depuis l’autre rive et nous protège de la poussée des Alpes.
A Saillans, la surlargeur de la D93 nous rassure sur 2 ou 3 km. Pour finir en douceur notre rando de 90 km et 1000m de dénivelé, la voie verte le long de la voie ferrée est la bienvenue. Heureux d’aller vite partager nos impressions, les joies de cette belle journée et un dernier verre. C’est l’heure de la sortie des classes !!
Christian Lopez (notre écrivain favori)
Dans le massif du Pilat le 20/05/2021.
Enfin, nous avons pu nous retrouver, cette randonnée devait avoir lieu le 6/05 et a été reportée, en raison de la crise sanitaire.
Après un café et une petite collation (chouquettes et viennoiseries) comme d'habitude, départ du parking de la Viarhôna à St-Rambert d'Albon.
Suite
à 2 erreurs au départ de Monique, prise par la discussion avec
Annie B, le circuit sur la Viarhôna a pu se terminer sans autre
souci (heureusement Christian veillait au grain et a pu signaler la
faute).
Ensuite
les choses devenaient sérieuses. De la montée jusqu'à notre objectif :
Burdignes.
Passage par Lupé, Maclas (Justin Bridou), St-Appolinard, St-Julien Molin Molette, le col du Banchet, Bourg Argental puis la côte de Burdignes : 6 kilomètres intenses. Enfin arrivée à destination, la propriétaire de l'auberge, nous autorise à pique-niquer dans un espace vert avec fauteuils et tables à notre disposition.
Après nous être restaurés, bières et cafés ont été consommés.
Nous devons penser au retour, que de la descente pour aller dans la Vallée du Rhône.
Passage par Toissieu, très beau village, proposé par Gérald où de là, nous avions une vue magnifique. Ensuite direction Annonay, Vallée de la Cance avec son gros rocher d'escalade (la Roche Périandre, attraction touristique), puis arrivée sur Sarras, St-Vallier et prise de la Viarhôna jusqu'à St-Rambert.
Tout le monde était satisfait de la ballade qui de plus était ensoleillée.
Monique
Sortie du 25/03/2021
Compte rendu de Gérald.
Après un café et une petite collation prise comme à l'accoutumée, (merci aux préparateurs) départ du village de VIVIERS, par le centre-ville puis la RD 86 jusqu'à la sortie du village. Mis en jambe par une grimpée agréable. Passage par de petits hameaux et direction Larnas. Ensuite direction Rd362 par Fonfreyde (joli hameau perché) ou nous avons vu plus bas le champ d'un producteur d'iris et ce en direction de GRAS. Passage et visite de hameau de Rimouren , destination BIDON pour une pause déjeuner.
Dommage, cause covid pas de café. Reprise de notre parcours direction fin de la route des gorges, pour arriver à St MARTIN d'ARDECHE. Ensuite St JUST d 'Ardèche, BOURG St ANDEOL, pour une arrivée par-là Viarhôna sur VIVIERS avec une surprise annoncée par un couple de marcheurs, à savoir une belle vipère. Parcours de 85 km, par une très belle journée, ensoleillé, et très bien organisée. Une petite collation à l'arrivée, (bière, jus de fruit, gâteau citron et autres gâteaux, chocolat) et retour pour chacun à son domicile.
Serge vous remercie pour l'accueil, le café et les petits moelleux au chocolat du départ, le parcours, les boissons, les gâteaux et chocolats divers à l'arrivée.
Un petit additif de Nicole.
Super journée, du soleil, du vent mais pas trop, une excellente ambiance comme d'habitude et quand même 1000 m de dénivelé.
Si la covid nous empêche d'aller ailleurs, tant pis : l'Ardèche est si belle !
Pour les curieux qui voudraient en savoir plus sur Honoré Flaugergues, l'astronome de Viviers vous pouvez trouver en cliquant ici le texte d'une communication que j'ai faite pour la commémoration du bicentenaire de la Révolution et de l'inauguration du musée de Chirols (07).
Sortie du 11/03/2021
Le rendez-vous était fixé à 9h au parking de la Viarhôna,
derrière la gare de St Rambert d’Albon.
17 personnes étaient prévues. Ne voyant pas arriver notre petite dernière, on lui téléphone et elle nous apprend qu’elle nous attend à la gare de … Tain l’Hermitage. Donc nous partons à 16. La météo n’était pas au rendez-vous, temps gris et vent du sud assez froid.
A la hauteur de Condrieu, nous longeons les terrasses viticoles qui dominent la voie verte.
Après la traversée d’Ampuis avec son château, nous arrivons à l’île du Beurre, centre d’observation de la nature qui abrite de nombreuses espèces dont le castor. L’île fait partie du Parc naturel du Pilat.
Nous traversons Vienne et l’île Barlet (ancien terrain militaire) et continuons jusqu’à Loire sur Rhône ou le pique nique sera pris rapidement. Tout le monde a froid et nous n’avons pas de café !!!
Retour par la même route et arrivée au parking avant 16h afin que tout le monde puisse rentrer avant le couvre feu.
Autres photos cliquez ici ou sur la vidéo ci-dessous cliquez sur le carré dans l'angle inférieur droit pour passer en plein écran.
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